Je fais le tri dans mon carnet de poèmes. J'en ai retrouvé des anciens que je n'avais pas encore partagé ici. On peut dire qu'il y a prescription maintenant, non? ;-)
A ta vue mon cœur se serre
Morceau de paradis ou aperçu de l'enfer?
Le rouge de l'amour me monte aux joues
Exposant au monde ce que ma raison ne déjoue.
Je recherche ta présence à chaque instant
Me surprends à penser à toi bien trop souvent
Je tremble qu'une autre trouve le chemin
Et ose avant moi te prendre la main.
Mon cœur hurle ton nom
Mais de ma bouche ne sort aucun son!
Christine (2012)
Comme ils sont "adressés" à une seule et même personne je mets les autres à la suite
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Dans mes rêves tu fais irruption
Laissant derrière toi cette douce impression
Vapeurs de tendresse et de passion
Qui s'évaporent avec le coq et sa chanson.
Ton regard me fait baisser les yeux
Pourtant comme j'aimerais m'y plonger rien qu'un peu
J'ai peur que tu ne devines à travers eux
Que, traitres, ils te laissent lire dans mon jeu.
Je sais que je n'ai rien à espérer
Que tu es hors de ma portée
J'aimerais être celle qui serait là pour te combler
Mais Hélas tu ne pourras jamais le deviner...
Christine (2012)
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Tes yeux me voient sans me regarder vraiment
S'ils se posaient sur moi ne serait ce qu'un instant
De mon cœur par mes yeux transmettrait le message
Celui que je ne peux t'avouer, bien trop sage
Christine (2013)
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J'ai perdu mon cœur quelque part
Entre tes yeux et ton sourire
Il y a de ça plusieurs années, je ne peux mentir
Tel un fantôme, tu ressurgis du passé
Sans me laisser le temps de t'oublier
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Rêve éveillé à la douceur d'une caresse
De longues minutes le temps paresse
Ouvrir les yeux enverrait notre "couple" au cimetière
Pour te garder je m'en soude les paupières
Sans donner réponse à ce qui me tourmente
Qui à tout moment me poursuit et me hante
Est ce celle qui accompagne tes jours?
Celle que tu chériras pour toujours?
Par une journée pleine de soleil
J'ai perdu mon étincelle
Impuissante avec un cœur trop gros
Et qui manque cruellement de mots.
Christine (2012)
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Comme un poison qui pénètre ma chair
Et se répand en mon être lentement
Je me rêve dans tes bras secrètement
Simple leurre que je redoute et espère
Mon réveil rend bien terne la réalité
Qui perd l'attrait de ce bonheur posthume
Ne laissant de lui qu'une vague amertume
Car de toi que j'aime je ne suis point aimée
Christine (2013)
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